Connaissances maritimes
Au Japon, dans les eaux bordant l’île d’Anami Oshima, un «cropcircle», un cercle géométrique de même type que ceux qui apparaissent dans les champs de blé, fascine les plongeurs. Celui-ci se situe à 24 mètres de profondeur et est décoré de multiples coquillages. Quand certains y voient l’œuvre ancestrale des aliens, d’autres sont convaincus qu’il a plus simplement été érigé par un poisson-ballon (Tetraodontidae) pour y cacher ses œufs à l’abri des courants !
L'anomalie de la mer Baltique a été accidentellement découverte par une équipe d'experts en plongée en 2011. Les plongeurs ont trouvé une entité circulaire de 60 mètres d'épaisseur à près de 90 mètres de profondeur dans la mer Baltique.
Une piste semblait mener vers l'entité, que les plongeurs ont mesurée à environ 300 mètres. Bien que divers scientifiques aient fait d'innombrables suggestions sur les origines de l'entité, l'anomalie de la mer Baltique reste l'une des intrigues et des mystères océaniques non résolus du monde marin
Le manœuvrier, dans la marine de guerre, est un marin particulièrement formé et entraîné à la mise en œuvre et à l'entretien des appareils de manœuvre (appareil à gouverner, guindeaux, treuils, bossoirs, ligne de mouillage, aussières, tangons...). Ce personnel assure également la mise en œuvre (mise à l'eau et conduite) des embarcations (la drôme du navire).
Le matelotage constitue une des bases de son métier. Le matelotage étant l'étude technique des différents nœuds et amarrages, du saisissage des cargaisons, préparation et emploi des cordages et filins d'acier (épissures, surliures)…
Il est également responsable des travaux sur le pont, des travaux sur la voilure concernant les navires à voiles, et des travaux sur la mature.
Ces spécialistes sont appelés familièrement les boscos. Le bosco est généralement un officier marinier supérieur. C'est le « patron » des manœuvriers du bord.
Tout le monde a déjà vu de l’écume de mer une fois dans sa vie, mais avez-vous déjà vu une ville entière se faire engloutir sous ce phénomène. Tout d’abord, pour créer de l’écume il vous faut 4 choses : de l’eau, du sel, de la matière organique végétaux, animaux et micro-organismes et du mouvement. En Australie, à Victoria ce phénomène se produit tous les 3 ans à une échelle apocalyptique.
Le phytoplancton constitue l’ensemble des cyanobactéries et microalgues (végétaux microscopiques) présentes dans les eaux de surface et qui dérivent au gré des courants. Méconnu car invisible à l’œil nu, le phytoplancton est pourtant le poumon de notre planète. Grâce à la photosynthèse, il produit plus de la moitié de l’oxygène terrestre et consomme la moitié du dioxyde de carbone. Le phytoplancton est indispensable à la vie marine car il se trouve également à la base de la chaîne alimentaire océanique.
Sur la surface des océans, les plus grosses vagues recensées mesuraient autour de 35 mètres. Une équipe de chercheurs du Massachussetts a observé en mer de Chine, des vagues qui se forment dans les profondeurs de l’océan et qui, pour les plus puissantes, pourraient atteindre 170 mètres de haut. Ces vagues “internes”, seraient présentes dans toutes les mers du globe et parfois photographiées par la NASA depuis l’espace. Elles joueraient un rôle dans le mélange des eaux océaniques et la température des océans.